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Dominique Baeyens a un palmarès impressionnant en tant qu’entraîneur de volley-ball professionnel. En 25 ans de carrière, il a remporté huit titres nationaux, trois coupes et une coupe d’Europe. Dominique a été élu huit fois entraîneur de l’année et a exercé la fonction d’entraîneur national pendant quatre ans. Il transmet avec passion ses idées au public. Dominique est diplômé d’un master en éducation physique et a construit sa carrière d’ entraîneur à partir de cette formation scientifique. Dominique croit en la force du travail d’équipe, mais selon lui, il s’agit aussi d’un ” Coaching avec bon sens “. De ce fait, personne n’est mieux placé pour appliquer son expertise du monde du sport directement aux opérations internes et aux processus d’équipes au sein des organisations et des entreprises.
Entraîner avec bon sens
Pas tous les ballons ne sont ronds
Traiter joueurs et employés dans un contexte professionnel reste un travail sur mesure où il n'y a pas de recettes miraculeuses. Dans sa longue carrière sportive professionnelle, Dominique Baeyens a développé une vision claire et originale du travail d’équipe. Dominique sait ce qui fonctionne, mais sait aussi où les choses vont souvent mal en trouvant la raison spécifique. Il est souvent une question de bon sens.
Il vous raconte sur quelles bases vous bâtissez une solide équipe, comment vous gérez et améliorez les processus de communication, comment une équipe peut devenir son propre coach et comment se surpasser. Pourquoi le caractère est-il plus important que le talent ? Comment créer de la confiance parmi tous les membres ? Qui doit coacher l'entraîneur ou le manager ?
Dominique Baeyens vit et parle avec passion. Sa vision du travail d'équipe trouve son origine entre les lignes du terrain de volley-ball mais sa portée s’étend bien au-delà.
Dominique Baeyens est devenu une icône dans le monde du sport au cours des dernières décennies. Il dit ses adieux en septembre 2016 comme entraîneur de haut niveau, mais voulait absolument rester actif dans le secteur. Dominique est maintenant entraîneur de jeunes entraîneurs et d'athlètes à l'école de sport de haut niveau de Vilvorde.
Comme enfant, il adorait le sport et jouait également du piano. Le monde des art lui a toujours tenu à cœur. Il s’intéresse particulièrement au processus créatif qui se déroule à l'origine de la création de chaque nouvelle œuvre d'art.
Par l'intermédiaire de son frère, Dominique s'est retrouvé au volley-ball. Sa maîtrise en éducation physique à la VUB (1980) ne lui était pas étrangère. Il a commencé sa carrière comme joueur, mais a été forcé d'arrêter vers l'âge de trente ans à cause d'une blessure au dos.
Dominique s’est ensuite établi une réputation comme entraîneur de Zellik et de Roeselare. En tant qu'entraîneur national, il a fait en sorte que les Red Dragons puissent participer à un championnat du monde pour la première fois en 36 ans. Le moment sportif de sa carrière qu'il considère avec le plus de satisfaction est la qualification pour le championnat d'Europe, lors de sa toute dernière compétition comme entraîneur (en 2016).
Lors de ses adieux en 2016, Dominique a longuement fait un point de bilan de sa carrière. À un moment donné, il a abandonné un emploi permanent et sûr dans le domaine de l'éducation pour se lancer dans une nouvelle aventure en tant qu’entraîneur ; ‘’ Dans votre vie, il arrive qu'un train passe à côté de vous. Il faut alors oser sauter. Si vous attendez trop longtemps, il repartira et ne reviendra peut-être plus jamais. J'ai eu la chance de former une équipe de champions à Zellik. Le volley-ball était ma passion. Alors vous n'en doutez pas. (.....) N'oubliez pas que les meilleurs entraîneurs sont tous de grands égos. Ne les croyez pas s'ils prétendent le contraire. Je n'ai pas quitté l'éducation pour devenir troisième. Je voulais être le meilleur. ’’ (De Zondag, 30 octobre 2016)
Dominique Baeyens a été, au sein du volley-ball belge, l'un des pionniers en ce qui concerne l'accompagnement psychologique. Un entraîneur doit toujours rechercher l'innovation, aussi petite qu'elle soit, tout simplement pour garder vos joueurs alertes. J'insiste toujours sur ce point lors de mes conférences au sein des entreprises. (.....) Si vous ne communiquez pas correctement, vous risquez de vous retrouver dans un position où les gens se faufileront dans une position défensive. Cela deviendra alors difficile. En tant qu'entraîneur, vous ne pouvez pas améliorer vos joueurs de 20 %, mais vous devez essayer de faire cette différence de 1 à 2 %. Cela peut se faire grâce à un meilleur accompagnement mentale.